L’auteur a rencontré dans un centre social de nombreuses femmes qui après un temps de mise en confiance ont parlé des violences conjugales qu’elles ont subies.
Avec beaucoup de sincérité et de pudeur, Perrine le Querrec se fait le porte-voix de ces confidences.
A la première personne, ses poèmes sont brefs, percutants et violents comme les coups et les insultes subis.
Ils évoquent la peur, le manque d’aide, l’indifférence, l’envie de fuir, la peur aux ventre.
Ils parlent des enfants aussi…
Et dans cette période de confinement, on ne peut que frémir en songeant à ce qui peut se cacher derrière les murs.

Thérèse Chiarello

Retrouvez ici Les Invisibles, la contribution de Perrine Le Querrec au Monde d’Après de Colères du Présent.

 

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